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KAKY
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KAKY

MERCREDI 19 NOVEMBRE 2025
19h30 TOULOUSE LE REX
  • DEBOUT à partir de 20,00 €
    PARTERRE
    TARIF PUBLIC
    22,00 €
    TARIF PUBLIC 22,00 €
    PARTERRE
    TARIF REDUIT
    20,00 €
    TARIF REDUIT 20,00 €
0 BILLET, 0,00€

  • Description

    Dans son monde, Kaky a fait de la musique un remède à toutes les tempêtes, et une safe
    place où libérer ses émotions, sans pudeur. Depuis ses débuts avec “La tête pleine”,
    premier single sorti en 2020, l’auteur-compositeur s’est fait une place dans le paysage pop
    français en faisant de sa musique le reflet de ses émotions. Un parcours musical pensé
    comme une relation épistolaire avec son auditoire, des poèmes faits de gribouillis, de ratures
    et de mots torturés.
    Franck, dit Kaky, a 20 ans quand il s’essaye à de premières expérimentations sonores, et
    façonne son goût pour la production. À l’aide d’un enregistreur, il récupère des échantillons
    de sons du quotidien façon ASMR, qui l’inspirent pour créer ses “KakySound” partagés sur
    YouTube. Le signal sonore d’un avion ou le crépitement d’un briquet sont astucieusement
    convertis en singles, parfois pop et minimaliste sur “Lundi matin”, voire hip-hop sur “Calme”,
    au générique de son premier EP, Room 404. Au-delà des manips sur son logiciel de
    montage, Kaky aiguise peu à peu sa plume, et soigne son spleen, évoquant déjà le manque
    de confiance en soi et la solitude, des sujets qui lui resteront chers.
    Épaulé depuis toujours par le producteur et réalisateur Alexandre Soret, dit Caméléon, Kaky
    poursuit sa course avec un premier album, Joli Monde, toujours guidé par un inépuisable
    désir d’introspection. Des prods électroniques (“1er avril”), aux réverbérations pop
    étincelantes (“24”), Kaky met des mots sur ses angoisses, désabusé par le monde qui
    l’entoure, et magnifie ses peines en musique. Un premier long-format qui permettra à
    l’artiste d’investir dans la foulée la scène de la Boule Noire pour la première fois.
    « Mon pistolet, c’est un pinceau, j’ai pris les couleurs en otage » (extrait de Joli Monde)
    Après plus de deux ans de silence, Kaky fait son retour en fin d’année dernière avec une
    série de singles, des “Notes”, les esquisses d’un nouveau long-format, Est-ce que
    quelqu’un m’entend ?, que l’artiste dévoilera le 16 mai prochain. Un “premier chapitre”
    selon l’artiste, qui témoigne du renouveau de son identité esthétique (la DA, la cover et les
    visuels sont co-réalisés par Lara Chochon) et musicale, fruit de “889 jours à se chercher”, à
    persévérer, quitte à “oublier les potes pour finir des maquettes”.
    À propos du titre de l’album, l’artiste explique : “Aujourd’hui, j’ai la ferme conviction que
    les humains se divisent émotionnellement. On vit une double vie : celle qu’on montre
    aux autres, et celle qu’on vit en solitaire. Est-ce que quelqu’un m’entend ? C’est une
    question simple : avez-vous vu ma douleur, tout ce temps ? Combien de temps
    va-t-on encore avoir peur d’être nous-mêmes, dans la joie comme dans la tristesse ?”
    Kaky n’a pas peur, et se révèle en entier : entre l’amour (« Amoureux des détails »), le
    désamour (« Tu me manques ») et la rédemption (« Peur de vivre »), l’artiste en tire un
    disque puissant, résolument pop.
    “J’ai pris beaucoup de temps avant d’apprécier à nouveau mes chansons, et savoir
    où j’avais envie d’aller. J’avais besoin de parler de moi, plutôt que de parler de ce qui
    m’entourait, et de m’enfermer. Je me suis beaucoup plus impliqué dans la réalisation.
    Je suis allé chercher le plus d’instruments acoustiques possible, une vraie batterie,

    des basses, des guitares électriques. Et chercher la chaleur, ressentir la musique, ne
    pas utiliser de sons digitaux, froids.”
    Au fil des 14 titres, Kaky développe une chorale d’instruments, une guitare sèche qui
    l’accompagne dans “Pétale de roses”, des synthés brillants, ou un piano qu’il laisse même
    se balader en solo sur le titre “Worry’s piano”. Malgré les doutes qui persistent, Est-ce que
    quelqu’un m’entend ? sonne comme une révélation, une obligation à s’évader, les cheveux
    au vent comme dans le clip de “Drôle d’idée”...
    “On change le monde à notre façon, et c’est ça qui nous chante.” (extrait de Drôle
    d’idée)
    ...Ou sur la scène de L’Européen, là où Kaky a convié son public pour un concert unique
    le 13 mai prochain, sold-out en seulement deux jours. Il assurera avant la première partie
    des concerts d’Helena, avant une tournée en province prévue à l’automne.
    Si Kaky a toujours su faire de sa musique un moyen de s’exprimer à cœur ouvert, l’artiste
    semble au sommet de son art avec Est-ce que quelqu’un m’entend ?, son projet le plus
    intime, et panse ses douleurs en se les réappropriant. Reste plus qu’à obéir à l’injonction
    tirée de “Oh j’plane” : “Oublie comment tu t’appelles, mets l’enceinte au maximum,
    qu’on n’entende plus les voix qui se bagarrent dans nos têtes”.

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